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11 Mars 2021

Quelle gouvernance dans un contexte d’holacratie : forme très participative de management.

Découvrez quand et comment cette organisation a été mise en place.

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Pour lire la suite, cliquez sur ce lien : L’importance – et les conditions – d’un plan de vaccination réussi

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Pour cette seconde web interview, Anne-Sophie Bourrigaud en collaboration avec Jean-Michel Picaud ont pu recueillir les propos de Betty Vergnaud, dirigeante de l’entreprise familiale Marc & Betty.

Elle s’est exprimée en toute transparence sur son rôle et les enjeux de sa société en ce contexte économique particulier.

« J’ai besoin de m’entourer, je ne sais pas faire toute seule. Je me sens le devoir de rendre des comptes, rendre compte des résultats passés et des projets à venir. Cela s’appelle la gouvernance ! »

« Après avoir associé les salariés à l’élaboration d’un nouveau projet d’entreprise, Betty Vergnaud compte bien continuer : « Le risque de ne pas continuer à les associer, c’est de les perdre, parce qu’on ne peut pas leur avoir fait goûter ce sentiment d’utilité dans une période difficile, puis leur dire qu’on plus besoin d’eux» »

 A la question quelle est l’utilité d’un comité externe, Betty Vergnaud répond : « ça nous dérange et c’est bien » (…)

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RESUME DU WEB INTERVIEW 
DE FRANCOIS GUERIN, DG DU GROUPE CETIH

L’instant gouvernance par NAPF, quésaco ?

C’est le Web Interview d’un chef d’entreprise, par deux membres de la commission gouvernance de NAPF pendant 20 minutes. Le cœur du sujet : la gouvernance au service de la performance globale de l’entreprise.

Pour le 1er s’est tenu mercredi 7 octobre, nous avons reçu : François Guérin, DG du groupe Cetih, 1300 collaborateurs, 7 usines et un réseau de 15 agences BtoC pour la rénovation énergétique, autour de 3 métiers : portes, fenêtres, systèmes photovoltaïques.

L’objectif de performance globale et durable du groupe Cetih est porté par 4 piliers indissociables :

· La performance opérationnelle pour optimiser la productivité des opérations.
· La qualité pour la fidélisation des clients.
· L’innovation pour l’attractivité et le développement.
· La RSE pour le sens et la cohésion.

Les instances de gouvernance et de direction du groupe Cetih doivent intégrer ses 4 piliers dans les réflexions et les décisions prises, que ce soient : 

· Le Comité stratégique, composé de personnalités indépendantes alliant des expertises différentes.
· Le Comité d’information et d’orientation, qui regroupe toutes les parties prenantes au capital.
· Le Comex en charge du pilotage opérationnel du groupe.
· Le Codem, composé de 45 managers, pour s’aligner, s’informer, découvrir et co-construire.

La gouvernance est en lien avec l’histoire singulière de l’entreprise, qui a toujours intégré la notion de responsabilité sociétale. 

La crise actuelle ne fait qu’accélérer les mutations qui s’amorçaient et conforte le groupe Cetih dans ses réflexions engagées sur la raison d’être et la mission de l’entreprise. Selon François Guérin, « c’est une façon d’ancrer l’entreprise au service d’une économie responsable ». Au-delà des enjeux sociaux et environnementaux, la raison d’être nécessite de définir des engagements. C’est l’ensemble Raison d’être  et engagements qui définit la mission du Groupe. Nos choix vont aussi se traduire par une évolution des instances de gouvernance (comité d’impact et de surveillance)

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Interview de Arnaud Legrand de Energiency

Energiency, entreprise rennaise lauréate Start West 2014, propose de transformer les données industrielles en nouveaux gisements d’économies d’énergie grâce à l’intelligence artificielle.

Co-organisé par NAPF, les technopoles du réseau Rétis et piloté par Atlanpole et Le Poool, en lien étroit avec les technopoles du Grand Ouest, Start West est devenu un événement de référence en matière de financement de projets innovants.

Après Rennes en 2019, c’est à Nantes que se tiendra Start West le 22 septembre 2020. L’année marquera la 20^ème édition de l’événement qui met en relation des startups innovantes en quête de fonds avec des investisseurs à l’affut de pépites dans lesquelles investir. En 2019, 27 structures d’investissement (réseaux Business Angels, plateformes de crowdfunding, sociétés en capital risque) étaient présentes pour rencontrer les 24 projets sélectionnés, parmi 65 candidatures.

Les start-up élues cherchaient à lever entre 300K€ et 6 M€. Depuis 2000, sur 526 projets sélectionnés, un tiers d’entre eux ont levé des capitaux, ce qui représente une enveloppe totale de plus de 500 M€, rappelle Start West.

Les entreprises intéressées par l’édition 2020 avait jusqu’au 13 mars pour déposer leur dossier, le comité de sélection étant programmé le 1er septembre.

Outre le financement de projets, la manifestation prévoit des moments d’échanges et de rencontres entre entrepreneurs et investisseurs.

Chaque année, 5 entreprises lauréates venues pitcher sont distinguées par un Trophée.

Lien du site

Cet article 20 ans de Start West, les Rencontres du Capital et de l’Innovation est apparu en premier sur NAPF.

INTERVENANTS :

1. Mathieu Défresne, directeur régional BPI France
2. Alain Debard, associé KPMG (expert-comptable spécialisé dans le financement des PME)
3. Bertrand Perrette, associé Eight Advisory (cabinet spécialisé dans l’accompagnement des fusions acquisitions et la restructuration financière des entreprises en difficulté, parmi les leaders français).

Pour revoir la visioconférence :

Cet article Retour sur le Webcafé EMC2/NAPF du 25 juin 2020 intitulé « Résister et innover. Quelle place pour sa stratégie financière ? ». est apparu en premier sur NAPF.

La chute d’activité économique résultant de la crise sanitaire actuelle risque de tarir la trésorerie de nombreuses entreprises industrielles et fragilise leur structure financière. Le gouvernement a mis en place des dispositifs de soutien au financement des entreprises.

NAPF, Place Financière du Grand Ouest, et le Pôle EMC2 ont organisé ce WebCafé pour vous permettre d’y voir plus clair.

AU PROGRAMME :

• Les dispositifs de financement et de garantie mis en place par les acteurs bancaires, avec le soutien de l’État et des collectivités territoriales.
• Vos interlocuteurs et leurs rôles respectifs, les circuits de décisions et les processus d’accès et de mise en œuvre de ces crédits.
• Échanges autour de vos questions et de vos difficultés rencontrées dans la mise en œuvre opérationnelle des dispositifs de financement.

INTERVENANTS :

1. Hassiba KAABECHE, Directrice Régionale de la BANQUE DE FRANCE
2. Valérie TAMAGNY-FERRIER, Présidente Régionale de la FEDERATION BANCAIRE FRANÇAISE
3. Mathieu DEFRESNE, Directeur Régional de BPI FRANCE

Pour revoir la visioconférence :

Cet article Retour sur le Webcafé EMC2/NAPF du 7 avril 2020 intitulé « l’accès au financement pour traverser la crise ». est apparu en premier sur NAPF.

“En cas d’exercice de son droit de retrait, le salarié doit en alerter immédiatement son employeur, étant précisé que l’exercice du droit de retrait n’est subordonné à aucun formalisme particulier.”

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Dans le contexte actuel, le Ministère du travail estime que, dès lors que l’employeur a mis en œuvre les dispositions prévues par le Code du travail et les recommandations nationales visant à protéger la santé et à assurer la sécurité de son personnel, qu’il a informé et préparé son personnel, le droit de retrait ne trouve en principe pas à s’appliquer (Covid-19 questions/réponses pour les entreprises et les salaries, publié le 28 février 2020).

Il faut toutefois rappeler que la position du Gouvernement ne lie pas les juges, lesquels apprécient souverainement si l’exercice du droit de retrait est légitime.

En effet, si la question venait à se poser, les juges seraient amenés à apprécier au cas par cas l’opportunité du droit de retrait des salaries, avec certainement une position en faveur des salariés, en cas de contamination avérée dans l’environnement immédiat des salariés ou encore à l’égard des salariés dont l’état de santé est particulièrement fragile, encore que l’on peut imaginer dans ce dernier cas que le salarié soit placé en arrêt maladie.”

En tout état de cause, si aucune sanction ne peut être prise à l’égard du salarié usant légitimement de son droit de retrait, tel n’est pas le cas en cas de recours manifestement injustifié à ce dispositif.

En effet, dans ce cas, l’employeur qui estimerait que les conditions nécessaires à l’exercice du droit de retrait n’étaient pas remplies pourrait envisager une retenue de salaire proportionnelle à l’arrêt de travail sans avoir à saisir le juge au préalable. Il appartient alors au salarié de saisir la juridiction prud’homale aux fins de contester la retenue ainsi opérée en justifiant du caractère légitime de son droit de retrait.

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